Boutiques en Ligne

Choisir le meilleur drone sans oublier la réglementation

Nombreux sont les adeptes de ces petits bijoux de technologie qui mettent de côté les bonnes pratiques. En effet, le drone ne peut pas voler à sa guise dans le ciel, le propriétaire est invité à suivre la législation en vigueur.

Attention, le survol d’un drone est réglementé

Les boutiques en ligne sont de plus en plus nombreuses à vendre des drones, ils peuvent être dédiés aux enfants ou aux adultes, et même aux professionnels de l’image. Ces derniers ont recours à cette astuce pour réaliser des reportages. Depuis quelques mois, une nouvelle pratique a vu le jour et elle s’inscrit parfaitement dans le cadre d’un loisir. Toutefois, le drone ne peut pas se retrouver dans le ciel au-dessus des habitants ou des logements. C’est une question de sécurité, si ce bijou de technologie venait à tomber sur une personne, il sera en mesure d’engendrer de véritables dommages.

Informez le propriétaire lorsque la zone n’est pas autorisée

Marie Le Vern a présenté un texte qui a été adopté le 27 Septembre dernier. Lorsque le drone a un poids supérieur à 800 grammes, il doit impérativement jouir d’une immatriculation qui s’avère être obligatoire. Il est important de noter que 10% des produits commercialisés sur Internet ou dans les boutiques physiques seront concernés. Il sera donc judicieux de comparer tous les drones afin de ne pas dépasser cette limite, ce qui vous évite ainsi une démarche administrative. Certes, cette dernière a fait l’objet d’une simplification puisque tout se déroule sur la toile. D’autres technologies seront également les bienvenues lorsque des zones non autorisées seront approchées.

Une amende finalement moins forte, elle sera de 15 000 euros

Les fabricants pourraient ainsi se baser sur une localisation par GPS afin de repérer immédiatement les endroits interdits comme les centrales nucléaires. La réglementation a donc instauré un délit de survol qu’il s’agisse d’une négligence ou d’une maladresse. Par conséquent, le propriétaire pourrait être impacté par une amende de 15 000 euros et d’une peine de prison de six mois. Cette décision s’avère être moins sévère que celle mise en avant par le Sénat. Il préconisait une amende de 45 000 euros.

Le texte mentionne également une capacité à s’adapter aux nouvelles fonctionnalités. Par rapport aux commercialisations et aux compétences des drones, il n’est pas exclu que des modifications soient mises en place.

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