Le marché du service d’aide à la personne est un secteur très prometteur pour les prochaines années. Depuis la loi Borloo de 2005 qui libéralise le secteur, les entreprises privées franchisées se lancent régulièrement au côté des associations ou d’organismes publics. L’avantage est que ce genre d’activité ne demande pas d’investissements financiers trop importants. Il n’est donc pas nécessaire d’avoir un apport personnel, souvent très difficile à obtenir lors d’une création d’entreprise.
Qu’est-ce que les services d’aide à la personne ?
Le secteur du service à la personne est très divers. Il peut s’agir d’une entreprise dédiée à la petite enfance (garde) ou au contraire venant en aide aux personnes âgées ou handicapées en état de dépendance. Bien évidemment, les emplois à domicile permettant à un couple de gagner du temps au quotidien sont également un service d’aide à la personne notamment pour les activités de ménage ou de repassage. Ce sont des métiers très utiles et où les familles sont souvent très reconnaissantes envers les professionnels. L’avantage de choisir une franchise est que les familles sont certaines de trouver la même qualité de services entre les différentes agences de l’hexagone. Quant aux franchisés, le risque d’investir dans un tel secteur est très limité compte tenu du vieillissement de la population et de la volonté gouvernementale de maintenir les personnes âgées dans leur domicile.
Existe-t-il des avantages fiscaux pour les familles ?
Le succès de ce secteur est notamment dû aux avantages fiscaux pour les familles d’y recourir. En effet, près de 50 % des sommes payées sont restituées aux bénéficiaires via un crédit d’impôt. C’est donc un dispositif gagnant à la fois pour le professionnel et le bénéficiaire. Il ne faut pas oublier que la plupart des entreprises du secteur acceptent les chèques CESU. C’est là encore un avantage, car dans les grandes entreprises françaises, les employeurs participent au financement. C’est un avantage en nature qui permet de réduire encore plus la note finale.
